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17 Signes qui Montrent que vos Newsletters sont Ratées (et comment y remédier)

Recevez les bonnes pratiques pour optimiser vos campagnes emailing

Vous pensiez être incollables sur la question des newsletters ?

Ou peut-être n’y prêtez-vous pas réellement attention ?

Sachez que des petits oublis au demeurant insignifiants peuvent faire tomber vos newsletters dans l’oubli et ruiner en partie votre stratégie email marketing.

Quoi qu’il en soit, je vous conseille de bien lire ces 17 prochains points.

Si vous vous retrouvez dans certains d’entre eux, c’est probablement que vos newsletters méritent un petit passage en revue…

1. Personne n’y répond

Et oui. Ce n’est pas parce que vous envoyez un email pas vraiment adressé et qui n’attend pas de réponse que c’est normal de ne jamais en recevoir.

Si votre newsletter intéresse réellement vos destinataires, vous devriez recevoir quelques réponses (mis à part « Merci de me désinscrire » bien entendu). C’est un gage d’attention et une preuve que vous intriguez, interrogez, que vos newsletters interpellent et font réagir.

La solution : Veillez déjà à programmer une adresse de réponse valable afin de pouvoir recevoir d’éventuelles réponses.

D’autre part, le fait de mettre un prénom en tant qu’expéditeur renforce le sentiment de proximité entre vos lecteurs et vous. Ils seront bien plus enclins à répondre à un email envoyé par « Romain de MaSociété » qu’un email de la part de « MaSociété.com ».

Attendez-vous également à recevoir des réponses négatives et vous devez les prendre en considération pour améliorer votre communication.

2. Vos taux d’ouverture ne dépassent jamais les 15%

15% d’ouvertures, c’est peu. Pas catastrophique, mais peu. En dessous, cela commence vraiment à être problématique. Vous perdez du temps, de l’argent, et de l’énergie avec des newsletters non rentables.

La solution : Le problème ici vient certainement de la qualité de votre base de données. Comment avez-vous récupéré vos contacts ? Votre base est-elle vieillissante ? Retirez-vous au fur-et-à-mesure vos désinscrits ?

Vos contacts doivent tous avoir été légalement collectés, on dit qu’ils doivent être « opt-in ». Cela implique qu’ils soient d’accord pour recevoir vos emails.

Evitez les bases de destinataires à prix dérisoire que l’on peut trouver sur le net et qui vous promettent monts et merveilles.

Même petite, une base qualifiée a du potentiel pour votre business. Alors prenez le temps de créer la vôtre !

D’autre part, si votre base date déjà de quelques années, pensez à la nettoyer en supprimant les inactifs (les contacts qui n’ouvrent jamais vos emails).

Utilisez un logiciel d’emailing qui analyse vos destinataires afin de détecter les adresses erronées, les NPAI, les domaines inconnus, etc.

En bref, entretenez vos bases de données et surtout, n’oubliez pas de traiter les désinscriptions !

3. Vous n’avez aucune idée de vos taux d’ouverture ou de clics moyens

Faire de l’emailing, ça se passe avant, pendant et après.

Et lorsque l’on dit après, on parle de l’analyse statistique qui succède à l’envoi de vos campagnes.

Cette analyse vous permet de jauger la pertinence de votre message auprès de vos contacts. Vous pouvez alors obtenir des données particulièrement utiles.

La solution : Voici les statistiques que vous devez à tout prix surveiller pour améliorer votre stratégie email marketing sur le long terme :

• Taux d’ouverture
• Taux de clics
• Taux de désabonnement
• Taux de NPAI
• Taux de réactivité
• Temps de lecture
• Les liens les plus cliqués (exclusif à Sarbacane)
• Géolocalisation de vos destinataires
• Liens les plus cliqués
• Messageries les plus utilisées
• OS les plus utilisés
• Supports les plus utilisés (mobile/desktop)

Cela fait beaucoup, c’est vrai.

Mais en les analysant, vous parviendrez non seulement à juger de l’efficacité ou non de vos emails, mais également à mieux connaître vos destinataires. Des informations capitales si vous envisagez d’améliorer la rentabilité de vos campagnes.

4. Le contenu se répète d’email en email

Je vois ça très souvent. Des newsletters qui ne font que répéter les mêmes articles en boucle et qui sont envoyées à un rythme beaucoup trop intense.

Ces newsletters proviennent pour la plupart de sites d’informations. Mais honnêtement, même si je m’inscris à une newsletter quotidienne en pleine connaissance de cause, je n’aspire pas à recevoir les mêmes informations jour après jour !

La solution : Donnez-vous le temps !

Pour ne pas vous retrouver dans l’impasse au moment d’envoyer votre newsletter, vous devez trouver un rythme adapté à votre capacité de produire du contenu.

C’est capital.

Que vous envoyez une newsletter par jour ou deux par mois, ce n’est pas important aux yeux de vos lecteurs.

Ce qui compte, c’est le contenu.

Et c’est la qualité de votre contenu qui attirera vos destinataires et qui engendrera un vrai rendez-vous attendu. Pas la frénésie de vos envois.

 

5. Personne ne partage vos articles sur les réseaux sociaux

Si le canal email vous permet de diffuser une première fois vos newsletters, le partage sur les réseaux sociaux doit en être la continuité. Si vous faites bien votre travail, vous incitez régulièrement vos lecteurs à vous rejoindre sur les réseaux à travers vos différentes communications.

Si vous ne permettez pas à vos contacts de partager votre newsletter, elle ne touchera qu’une audience restreinte à celle qu’est la vôtre.

Or, vos lecteurs peuvent être d’excellents diffuseurs de contenu, à votre service.

La solution : Vos contacts ont leur propre base de contacts et les réseaux sociaux sont la solution la plus facile pour eux de partager du contenu. Alors facilitez-leur la tâche !

L’idée est de placer dans votre newsletter des boutons de partage pour les réseaux sociaux.

Par exemple, chez Sarbacane, les articles publiés dans notre newsletter peuvent être partagés à l’aide d’un simple clic.

Voilà comment nous présentons cela :

exemple newsletter

Sur chaque bouton, il suffit d’ajouter l’URL de partage personnalisée en fonction du réseau social :

• Facebook : https://www.facebook.com/sharer.php?u={URL_de_votre_article}
• Twitter : https://twitter.com/intent/tweet?text={Texte de votre Tweet}&url={URL_partagée}&original_referer={URL_de_votre_article}
• Google+ : https://plus.google.com/share?url={URL_de_votre_article}
• LinkedIn : https://www.linkedin.com/shareArticle?mini=true&url={URL_de_votre_article}

Surtout n’oubliez pas de retirer les accolades {…} lorsque vous remplacez les liens avec vos URLs personnalisées.

Voilà ce que cela donne avec des liens personnalisés :

share_fb    share_twitter    share_google_plus    share_linkedin

6. Pas de pic de visites sur Google Analytics

L’idée lorsque vous envoyez une newsletter, c’est d’avoir un retour bénéfique pour votre business.

Et le premier indice permettant de jauger de l’efficacité réelle d’une newsletter, c’est le trafic qu’elle entraîne sur votre site web.

En consultant votre compte Analytics, vous devriez voir des pics de visite sur votre site ou votre blog le jour de l’envoi de votre newsletter.

Si ce n’est pas le cas, c’est qu’il y a un problème.

La solution : Le problème peut avoir diverses origines.

Premièrement, assurez-vous de ne pas intégrer l’ENSEMBLE de votre article dans le contenu de votre newsletter.

Si tout ce qu’il y a à lire est déjà présent dans l’email, pourquoi aller consulter l’article sur votre site ?

Donnez-leur envie d’aller visiter votre blog en mettant simplement une phrase d’accroche et un lien vers la suite.

Autre problème possible : vos boutons d’action ne sont pas suffisamment attrayants. Et c’est un grave problème.

Un bouton d’action doit être bien visible, facilement cliquable et incitatif. Utilisez des verbes d’action soit à l’indicatif (« Découvrir »), soit conjugués à la première personne (« Je découvre »).

Si vous souhaitez en apprendre d’avantage sur les call-to-action, vous pouvez consultez notre article dédié en cliquant ici.

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7. Vos ventes n’augmentent pas

En reprenant l’exemple précédent, si vos ventes n’augmentent pas, c’est que votre newsletter a un impact minime sur vos visites et donc sur vos potentielles ventes.

Pourtant, la newsletter doit indirectement être un levier de ventes pour être rentable.

Si vous ne constatez aucune augmentation de vos ventes, c’est que vos campagnes ne sont pas correctement réalisées.

La solution : Vous devez réfléchir au parcours de vos destinataires une fois qu’ils auront cliqué sur un lien de votre newsletter.

En arrivant sur l’un de vos articles, assurez-vous d’avoir placé des liens redirigeant vers votre site et si possible vers une offre intéressante.

Vos articles relayés par email doivent faire office d’argumentaires de vente subtils.

De plus, en relayant des articles réellement bénéfiques pour vos destinataires, vous renforcerez votre image d’expert du domaine et assurerez votre réputation, ce qui ne peut qu’être bon pour les ventes.

 

8. Vous changez de design très (trop) souvent

Regardez vos 10 dernières newsletters.

Est-ce qu’elles se ressemblent visuellement ?

Si oui, parfait.

En revanche, si vos newsletters ont un design général trop changeant, vous perdrez vos destinataires.

 

La solution : Bien entendu, notre conseil ici sera d’acter sur un seul et unique design.

Essayez de vous rapprocher graphiquement de votre site web et vos autres communications pour rester cohérent.

Vous habituerez ainsi vos contacts à un univers visuel récurrent ce qui aidera largement à la mémorisation de votre marque.

Bien entendu, ne vous interdisez pas quelques retouches pour le remettre au goût du jour si nécessaire. Mais ne perdez pas l’essence visuelle de votre marque !

9. Il y a plus de 3 polices d’écriture différentes dans votre newsletter

Tant que l’on parle de design, parlons d’homogénéité.

On a trop souvent vu des newsletters avec des typographies différentes dans tous les sens.

La plupart du temps, les marketeurs qui font ça pensent mettre en valeur des éléments importants en leur attribuant une police et une couleur différente.

Pourtant, cela produit exactement l’effet contraire : on se retrouve perdu au milieu d’un surplus d’informations.

La solution : Essayez de ne garder que 2 typographies différentes, une pour les titres et une autre pour les textes.

L’idée est de conserver une certaine homogénéité dans le design de votre newsletter car l’important est de réussir à diriger l’œil du lecteur.

Si vous le distrayez avec des fioritures dans tous les sens, vous n’arriverez pas à convertir.

Restez simple, mettez en valeur les liens et les boutons d’action, et n’écrivez pas trop !

10. On ne vous dit jamais « Tiens, j’ai reçu ta newsletter ! »

Vous n’y pensez peut-être pas, mais ce genre de remarque est vraiment révélateur.

Il est fort probable que certains de vos proches, amis, collègues ou connaissances soient inscrits à votre newsletter (et si ce n’est pas le cas, demandez-leur de s’inscrire… vous pourriez recevoir des retours intéressants et honnêtes).

Si aucun d’entre eux ne vous parle de votre newsletter, c’est soit qu’elle n’attire pas l’attention, soit qu’elle passe en spam constamment, soit que vos proches n’osent pas vous dire à quel point ils la trouvent fade…

La solution : Déjà, pour avoir le cœur net quant à l’avis de vos proches… demandez-leur !

Ensuite, travaillez votre newsletter pour la rendre la plus impactante possible.

Utilisez l’humour, variez les titres (oubliez les « Newsletter n°21 » ou autre), soyez créatif,

Pensez à une newsletter que vous auriez reçue récemment et qui vous a plu. Quelles sont les différences avec la vôtre ?

Inspirez-vous de ce qui se fait ailleurs et posez-vous les bonnes questions. Si votre newsletter ne fait pas parler d’elle, c’est que vous devez faire quelque chose !

11. Vous les créez en moins de 30 min

Si vous pensez qu’on peut créer une bonne newsletter en quelques minutes, vous être à des kilomètres de la réalité.

Certains diront « Avec un template personnalisable, on peut la faire en 30 minutes ».

Non.

30 minutes, c’est à la rigueur le temps que vous devez accorder à votre objet pour trouver le plus convaincant.

Vous devez passer beaucoup plus de temps que vous ne le pensez sur votre newsletter pour qu’elle soit la plus efficace et rentable possible.

La solution : Prenez votre temps. Ce conseil peut vous paraître simpliste mais c’est pourtant une nécessité.

Préparez votre contenu au moins un jour à l’avance pour ne pas tomber dans la précipitation.

L’objet de votre campagne est probablement l’un des éléments les plus importants. N’y passer que quelques minutes serait une énorme erreur.

Essayez de trouver une vingtaine d’objets possibles et notez les tous sur une feuille. N’ayez pas peur d’être audacieux et de tenter des choses qui ne vous viendraient pas à l’esprit d’ordinaire.

Une fois tous votre titre posés à l’écrit, supprimez les plus farfelus, rayez les moins intéressants, les titres trop vagues et les trop longs.

En libérant votre imagination, vous parviendrez à trouver des objets qui touchent vraiment vos destinataires et qui donnent envie d’ouvrir.

Quoi qu’il arrive, la création d’une newsletter ne peut PAS vous prendre qu’une demi-heure.

12. Pour vous, une newsletter ce n’est « Pas très important »

Je présume bien entendu que vous n’êtes pas de ceux qui jugent l’emailing inutile, sinon vous ne seriez pas là.

Mais sait-on jamais.

L’envoi de newsletter n’est certainement pas une pratique à prendre à la légère car elle permet plusieurs choses : améliorer votre image de marque, renforcer votre notoriété, garder le contact avec vos prospects et clients, et augmenter votre chiffre d’affaire.

Tout cela, avec un « simple » email. Pas si simple que ça en vérité…

La solution : Ici, la solution semble assez évidente : ne pensez pas cela !

Si vous êtes persuadé qu’une newsletter est facile à faire, que de toute façon ça ne rapporte rien, que vous pouvez la réaliser en 30 min (voir point précédent) et que de toute façon ça ne marche plus, je vous invite à lire notre livre blanc qui vous expliquera comment surpasser vos concurrents avec une simple newsletter.

13. « Page Miroir », « Copie Web », « Balise ALT » ou « Responsive » sont des mots chinois pour vous

Ces termes sont pourtant des essentiels à connaître en matière d’emailing.

« Page Miroir » et « Copie Web »  signifient strictement la même chose : la copie de votre email dans le navigateur de vos destinataires.

Vous devez à tout prix leur proposer d’afficher vos newsletters dans leur navigateur au cas où leur client mail ne parvient pas à les lire correctement.

La plupart des logiciels emailing permettent l’ajout d’une copie-web automatiquement. Mais veillez à toujours la tester avant d’envoyer pour vérifier qu’elle fonctionne.

La balise ALT (ou attribut ALT) est le texte qui s’affichera à la place de vos images dans le cas où le client mail de vos destinataires est incapable de les lire.

Le terme de « Responsive » désigne le caractère adaptatif des emails pour lecture sur tous les supports : mobile, tablette, pc, etc.

C’est une priorité aujourd’hui dans un monde ultra-connecté et multi-support. Avec environ 50% des emails lus sur un mobile dans le Monde, avoir une newsletter lisible facilement sur téléphone est une nécessité.

La solution : Consultez un lexique de l’emailing. Vous trouverez par exemple de nombreuses définitions plus ou moins techniques dans notre glossaire.

Si des définitions manquent, n’hésitez pas à nous le signaler !

14. Votre newsletter est composée uniquement d’images

On reçoit encore aujourd’hui bien trop de newsletters composée d’une seule image ou d’une combinaison de plusieurs.

Le problème c’est que ces emails tombent très souvent, si ce n’est à chaque fois, en boîte SPAM.

Et cela vient bien entendu du fait qu’ils ne comportent pas le moindre texte.

Le deuxième problème, c’est le côté « Responsive » : l’email ne pourra pas s’adapter pour être lu correctement sur mobile.

La solution : Pour qu’un email soit lu sur un maximum de messageries et qu’il ne passe pas en SPAM, il doit être créé en HTML.

Cela signifie qu’il doit être encodé afin que le code soit interprété par la messagerie de destination.

Vous ne connaissez rien en HTML ? Ne paniquez pas. La plupart des solutions emailing possèdent un éditeur HTML très simple d’utilisation.

Sarbacane par exemple fonctionne à l’aide d’un éditeur drag & drop. Il vous suffit de faire glisser des éléments sur une page vierge afin de créer votre newsletter sur-mesure. Le code est auto-généré !

Vous pouvez également utiliser des templates d’email préconçus et personnalisables pour gagner encore plus de temps !

15. Vous envoyez vos newsletters avec Outlook, Gmail, Hotmail ou autre…

Certains se reconnaîtront tandis que d’autres se targueront d’un « Quoi, il y en a encore qui font ça ? ».

Oui, et c’est une pratique encore très courante, notamment pour les TPE/PME qui ne possèdent qu’une très petite base de destinataires.

Souvent, la  raison évoquée est le manque de moyens et la non nécessité d’utiliser une véritable solution emailing pour si peu de contacts.

Pourtant, même avec une base réduite, faire de l’emailing correctement n’est pas une option. Ou alors on n’en fait pas !

Le risque en utilisant une boîte de messagerie non professionnelle est que vos emails soient directement considérés comme du spam, que votre réputation d’expéditeur soit immédiatement détériorée et que vos efforts pour envoyer des emails par paquets de 50 soient vains.

D’un point de vue rentabilité, il vaut mieux utiliser un vrai service d’email marketing.

La solution : Procurez-vous une solution emailing professionnelle, avec des serveurs d’envoi adaptés à la quantité et au format de vos newsletters.

Même payantes, ces plateformes sont un outil essentiel à quiconque désir envoyer des newsletters. Elles vous faciliteront les tâches de création, de configuration, de personnalisation, d’envoi etc.

Non seulement vous gagnerez du temps, mais si votre travail est correctement réalisé, vous y verrez de réelles retombées financières.

16. Vous envoyez des pièces jointes avec vos newsletters

S’il y a bien une habitude à bannir pour tous les marketeurs, hormis le fait d’envoyer des emails en masse via Outlook (vous ne faites pas ça, hein ?), c’est bien l’ajout de pièces jointe à ses newsletters…

Sur tous les plans, c’est une mauvaise idée.

D’une part, les filtres anti-spam seront alertés et risquent très fortement d’envoyer votre email en indésirables.

En effet, l’ajout de pièces jointes sur des emails de masse peut être considéré comme suspect. Vous ne voulez pas passer pour un cyber criminel, n’est-ce pas ?

D’autre part, les pièces jointes alourdissent les emails. Et plus vos emails seront lourds, plus ils vous coûteront cher à envoyer.

Enfin, vos destinataires vont se méfier et risque non seulement de supprimer votre email sans le lire, mais également de vous déclarer comme émetteur indésirable.

La solution : Evidemment, notre conseil ici est : n’envoyez pas de pièce jointe !

Si vous devez vraiment envoyer un fichier, un document PDF, une image, un flyer ou autre, hébergez le sur le web, et insérez un lien vers ce fichier dans votre newsletter.

Et pour savoir comment faire, rendez-vous sur… Google.fr !

17. Vous appuyez sur « Envoyer » en vous disant que « Ça ira comme ça »

C’est tout ? Si vous n’êtes pas 100% convaincu que votre newsletter va faire un carton, ne l’envoyez pas !

Comment voulez-vous que vos lecteurs l’apprécient si vous-même n’êtes pas convaincu de son intérêt ?

Ce que vous devez vous dire avant d’envoyer sur le fameux bouton d’envoi, c’est plutôt quelque chose comme « Parfait, j’envoie ».

La solution : Allez au bout des choses. Ne faites pas vos newsletters comme si vous réalisiez une tâche rébarbative.

Au contraire, chaque newsletter que vous envoyez est différente et est le fruit d’une nouvelle réflexion stratégique.

Pourquoi cet objet ? Pourquoi cet article ? Quels mots employer ? Quelles images ?

Soyez convaincu que cette newsletter que vous envoyez va plaire à vos lecteurs et qu’elle va convertir.

Et si, en analysant les statistiques de votre campagne, ce n’est pas le cas, revoyez votre copie et essayer de faire encore mieux la prochaine fois.

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